Départ Place d'Armes 6h45, pour vous organiser en covoiturage
Dimanche 27 JUILLET 2025, Nous vous proposons une sortie à CASTERINO dans la vallée de la Valmasque.
Départ au parking de la Valmasque à la balise 394. Plus loin à la balise 393 quitter la piste sur votre droite, descendre et traverser la Valmasque et monter par le sentier balisé en jaune jusqu'au lac .
Pour les deux groupes vous irez dans la vallée de la Valmasque à la découverte d’un joyau d’altitude, le lac de l’Agnel.
C’est l’un des plus grands lacs naturels des Alpes-Maritimes. Niché à plus de 2 300 mètres d’altitude, au cœur d’un cirque glaciaire, il est entouré des sommets de la Scandaillière, de la Vernasque, de l’Agnel et de la Charnassère.
Tout au long du sentier, les paysages se succèdent : rocailles, mélèzes, ruisseaux limpides.
Sur place, le calme règne. Le lac, utilisé comme réserve d’eau et source d’énergie renouvelable, est aussi un lieu idéal pour un moment de détente.
Pour les Marmottes c'est votre coin de repos après une belle montée, pour les Bouquetins, à l’autre extrémité du lac, on aperçoit le Pas de l’Agnel. C'est votre destination.
On fait le tour du lac en passant par la droite.
Une fois au bout du lac, on attaque la montée vers le col dans la rocaille (quelques cairns indiquent le chemin).
Arrivé en haut la vue est spectaculaire. Côté français le lac, bien plus impressionnant vu de là-haut. Côté italien les montagnes de l’Argentera, le Mont Viso au loin, et la cime de la Malédie sur le côté.
Infos pratiques :
Infos randonnée :
27 Juillet 2025 - Rando, rochers et bouquetins -
Une journée dans le Vallon de l’Agnel
11km et 730 de D+ pour les uns,
18km et 880 de D+ pour les autres.
Départ à balise 394, environ deux kilomètres après Castérino, parking de la Valmasque (1690m). L’air est frais, pétillant, les sacs sont pleins, les chaussures bien serrées. Ça rigole, ça hésite encore un peu sur l’itinéraire, version courte ou version corsée ? On verra bien au lac.
Les premiers kilomètres tranquilles. Piste forestière, sous-bois doux, ambiance "mise en jambe". Mais à la balise 393, ça bascule. Torrent, passerelle, puis direct dans le vif, la montée du vallon de l’Agnel. Deux bonnes heures d’ascension, où chaque lacet se gagne à la sueur du front. Plus d’arbres, juste des rochers, des pierres qui roulent, et ce souffle qui se raccourcit. La montagne met les pendules à l’heure.
Et soudain, au détour d’un rocher, le lac de l’Agnel (2430m),
le barrage. Plan d’eau cristallin, calme absolu, ambiance lunaire. Ceux qui ont choisi ce spot comme destination finale s’installent en mode sieste, pique-nique, ou simple contemplation
Le vent siffle et refroidit l’ambiance. Et voilà les stars du jour, les bouquetins. Majestueux, tranquilles, comme chez eux. Ils observent les randonneurs, genre : “On vous regarde galérer tous les week-ends.”
Mais pour quelques irréductibles, la rando ne s’arrête pas là. Direction le pas de l’Agnel sentier discret, bien raide, parfois exposé. 3/4 heure de montée en plus, le souffle court, les mains parfois utiles. Là-haut, la frontière italienne, et un panorama XXL. Scandallière, Vernasque, Agnel…
c’est un défilé de sommets. Le lac en contrebas, plus beau que jamais
La redescente ? Même chemin. Longue, parfois contemplative, parfois automatique (merci les genoux). Au final, 11 ou 16 kilomètres, selon l’option. Du caillou, du vide, du plein, des jambes lourdes… mais surtout, des souvenirs solides.
Le Mercantour ne fait pas de cadeau, mais il sait récompenser. Et les bouquetins ? Toujours là, toujours classes, jamais fatigués.
Vincent